Le narrateur, un jeune homme de l'ancienne famille Montresor, souffre docilement de milliers de griefs de Fortunato, mais quand il insulte, le narrateur décide de se venger.
Je devais non seulement punir, mais punir impunément. Le ressentiment n'est pas vengé si le vengeur dépasse le châtiment. Elle n'est pas vengée même si le délinquant ne sait pas à qui la main a infligé une punition.
Fortunato a une faiblesse - il se considère comme un connaisseur des vins et très bien versé dans eux.
Un soir, au crépuscule, quand la folie du carnaval fait rage dans la ville, le narrateur rencontre son ami. Fortunato en costume d'Arlequin a déjà réussi à boire et est de bonne humeur. Le narrateur dit qu'il a tout un baril d'amontillado, qui attire immédiatement l'attention de Fortunato. L'amateur de vin est déterminé à essayer la boisson et à rendre son propre verdict.
Ensemble, ils sont envoyés au palais au narrateur. Personne ne les rencontre là-bas, puisque tous les domestiques sont au carnaval. En descendant au sous-sol, ils se dirigent vers le piège préparé pour Fortunato. Le narrateur rappelle à un ami que sur les armoiries de sa famille se trouve «Grande jambe humaine, dorée, sur le champ d'azur. Elle piétine un serpent qui se tortille et qui la pique sur le talon ", et la devise de leur espèce est" Personne ne m'offensera en toute impunité ".
S'approchant d'une petite pièce éloignée, le narrateur y attire Fortunato et le rivette rapidement au granit avec des chaînes pré-préparées. Puis le jeune homme passe à l'étape finale de sa vengeance. Jouissant du tourment et de la peur de Fortunato, il enferma son ancien ami dans le mur.
J'ai touché le mur massif de la catacombe avec ma main et j'ai ressenti une profonde satisfaction. Je m'approchai à nouveau du mur et répondis par un cri au cri d'un prisonnier.
La malheureuse victime essaie de s'échapper en criant, mais ces tentatives sont vaines. Lorsque la dernière pierre reste, Fortunato essaie de tout traduire comme une blague. Le narrateur l'accompagne, mais soudain le rire cesse et la victime n'est plus en mesure de répondre.
Un demi-siècle s'est écoulé depuis, et aucune main de mortel ne touche cette maçonnerie.